Il aura fallu attendre l’excuse d’avoir 40 ans pour qu’enfin je te rencontre, Vincent d’Alpimondo, le guide de montagne, à l’esprit aventurier que j’avais déjà eu plaisir à lire au travers de tes ouvrages.

Ce voyage au Pérou a pris la première place de mon podium des plus beaux treks déjà réalisés (pour la plupart avec Alpimondo, d’ailleurs). Ce pays qui t’est très cher, Vincent, et que tu nous as fait découvrir grâce à ton histoire, à tes connaissances et ton approche du voyage appréciée de tous.

Quels mots employés pour qualifier au plus juste l’expérience que nous venons de vivre au cœur de cette spectaculaire chaîne de montagnes qu'est la Cordillère Huayhuash ou Cordillère Rouge ? Magnifique, grandiose, colorée, immense, singulière ou vertigineuse puisque le trek se fait véritablement au pied de sommets de + de 6000 m. Sur le papier, tu annonçais que cette cordillère était très compacte - 30 km de long - et que cinq des six sommets de + de 6000 m d'altitude se trouvaient regroupés sur une arête de 8 km de long.

Notre groupe, le dynamique team Pérou 2024, pourtant coutumier de la montagne en France et dans le monde, était loin d’imaginer ce que cela pouvait donner en vrai. A chaque étape, chacun rivalisait du « que c’est beau ! », « que c’est incroyable ! », « j’ai envie de pleurer tellement ce paysage est à couper le souffle ! ».

Grâce au professionnalisme de Vincent et de la douce et pétillante Tina, également guide de montagne, et aussi de son équipe sur place (les cuisiniers, les muletiers, et Deivi, notre troisième guide de montagne), nous avons été bien préparés à l’acclimatation et les étapes nous ont permis d'emprunter plusieurs cols à plus de 5000 m d'altitude, mais aussi de gravir des sommets jusqu'à 5200-5300 m, ou encore de longer de magnifiques lacs aux couleurs bleu profond, émeraude, turquoise... Et tout ça, toujours sous le regard des 6000 dont le célèbre Yerupaja (6634 m), deuxième sommet le plus haut du Pérou. Bref, des cols, des sommets, des lacs, des glaciers, du pisco sour,  des patates, du poulet, de délicieux avocats, des viscaches, des condors, des mules, une piscine d'eau chaude en forme de cœur, le rituel de danse le soir pour se réchauffer (belle playlist rock de Vincent et belle playlist de musique péruvienne de Tina) et des camarades de rando, devenus une bande d’amis.

Bref, vous l’aurez compris, ce trek est un enchantement pour tous les amoureux des montagnes sauvages et reculées (pour l'instant, cette cordillère reste peu fréquentée, notamment par rapport à sa voisine la Cordillère Blanche), pour les amateurs de randonnée, pour celles et ceux qui ont ce besoin vital d'évoluer au grand air et d’en apprendre toujours un peu plus sur l’autre.

Gilette G.

Pour tous ceux qui voudraient découvrir l’Equateur, je vous conseille ALPIMONDO avec Vincent Geus, un expert de l’Amérique latine.
Après avoir fait, le Pérou, la Bolivie, la Colombie avec lui, il me manquait l’Equateur. 
Je pensais en ayant déjà fait 3 de ces pays avec pleins de découvertes que je reverrais peut-être des choses similaires et bien non.

Il régnait dans les endroits où nous sommes allés comme chez Manuel à San Clemente un climat de tranquillité, de zenitude, un endroit féerique. 
Nous avons découvert : la tente de sudation, une séance de chamanisme… 
J’en suis encore baba nous nous sommes promenés dans son jardin où l’on y trouve toutes les plantes nécessaires pour se soigner. 

Nous avons rencontré Juan: le mineur de glace pour qui j’ai beaucoup de respect car son travail est dur et peu rémunéré mais il aime montrer le travail de ses ancêtres. 
Du Cotopaxi, au Chimborazo : ces superbes montagnes. De l’histoire des villes et ses églises et cathédrales. De la plage et de l’île de la Plata en bateau. 
Rien ne nous a échappé car je peux vous dire, ce n’est pas nécessaire d’aller sur internet, notre Vincent ou Vicente comme on l’appelle là-bas est une vraie encyclopédie. 
Notre équipe composée de Vincent et de Daniel notre guide équatorien, notre chauffeur de bus julio était vraiment au top.
Une bonne organisation pour un voyage rempli de découvertes toutes plus enrichissantes les unes que les autres.
Et je dirai que toutes les personnes qui ont constitué le groupe ont été remarquables : superbe ambiance.
Je dirai merci à Vincent de nous avoir fait briller les yeux: visite, logement, nourriture. 

Linda D.

J'ai eu cette chance de partager ce trek avec toi, tout reste gravé à jamais dans ma mémoire et dans mon cœur : les paysages , les villages si isolés , nos incursions et ces moments de partage chez l'habitant autour du poêle central et des breuvages locaux , l'ambiance et la solidarité de notre groupe de trekkeurs , la gentillesse et la générosité de la team népalaise , et encore une fois ton professionnalisme , ton expérience avérée , ta passion pour cette région si retirée , ta bonne humeur , je m'inscris pour 2025 !!!

Dix jours après notre retour du Népal, je n'ai toujours pas atterri, et pourtant j'ai bien pris les vols de retour de Kathmandu à Istanbul, puis d'Istanbul à Marseille !

Le Haut Dolpo, situé à l'ouest des Annapurnas, du Mustang, au cœur de l'Himalaya népalais incarne la quintessence des mythiques pays cachés de la culture tibétaine.  Difficile d'accès de par sa géographie enclavée, cette région d'altitude évoque pour ma part l'un des derniers édens himalayens !

Ha ce trek dans le Haut Dolpo m'a vraiment chamboulée ..... Il faut dire que cette région d'accès difficile avec des montagnes enneigées au sommet culminant à guère plus de 6300m aux parois si abruptes : des murs , des barrières avec des glaciers, plus bas la verticalité des pentes est encore omniprésente, d'étroites et hautes  vallées longtemps interdites aux étrangers nous mèneront de villages en villages où le temps semble s'être figé, une ambiance désertique minérale font de cette région un monde népalais hors du temps.

Je retiendrai, au-delà des efforts physiques et des conditions de campement (avec des bivouacs jusqu'à 4900 m), une expérience humaine hors du commun, parachutée dans un autre monde, sur une autre planète, immergée dans une authenticité que je souhaiterais immuable !!!

Un grand merci au groupe de randonneurs, chouette ambiance, de belles personnes !

Un grand grand merci à Vincent, accompagnateur très sympathique, expérimenté et bon vivant. Vincent part souvent déambuler dans le village et surtout il cherche un "foyer" où  l'on pourrait siroter quelques breuvages alcoolisés mais surtout avant tout "pénétrer " dans ces maisons traditionnelles où l'accueil sera toujours extrêmement chaleureux, des moments de partage inestimables inoubliables indélébiles du quotidien des autochtones ; parfois ce sera dans des tentes servant d'habitation que l'on s'imprégnera de cette atmosphère unique en tous les cas partout autour du poêle occupant une place centrale.

Vincent revient souvent satisfait : "j'ai trouvé, on pourra boire un coup là-bas" et .... même 2 ou 3 coups, avant le dîner et pourquoi pas y retourner après le dîner. Je découvre l’arak (bière d’orge), le rhum local - coca , la Ghorka bière népalaise, le Tongba (bière de millet).

Difficile de se réchauffer malgré la doudoune sur des couches vestimentaires appropriés aux conditions d'altitude (bivouacs jusqu'à presque 5000m ), et malgré un repas chaud et très généreux..... Vincent : "et si l'on dansait pour se réchauffer" , Ha quelle bonne idée, alors tout le monde se lève de la chaise pliante, la repousse un peu et les déhanchements, les gesticulations en rythme  autour de la table sur U2, Queen, les Beatles pour ne citer que les meilleurs.

Un grand merci à Jigmey, notre guide népalais et à la team des 10 : muletiers, aide cuisine, porteurs.

Un énorme merci à Bishnu, notre cuisinier, qui a pris particulièrement soin de moi à bien des égards. Cuisine généreuse et variée, riche en légumes, nous avons eu même droit à des pizzas et une pie (sans four !).

Anne T.

Une superbe aventure dans la vallée du Haut Dolpo au Nord du Népal, avec Vincent Geus, notre super guide français.

Pour ceux qui sont tentés par ce gros Trek, vous savez qui contacter.